1 semaine apres ce penible événement je suis devenue la tete de turc de la bande fashion victim.
Tout d'abord ce fut mon sac de sport qu'ils mirent dans les douches du gymnase, je l'y est retrouvé completement trempé mais heureusement il n'y avait qu'une bouteille d'eau.
Ensuite comme on fesait sport dehors il fesait si chaud que je dus enlever mon pull pour me mettre en tee shirt mais comme je suis un peu tete en l'air je l'oubliais sur le banc la ou on met les pulls quand on a trop chaud, et apres avoir mangé au self ( je mange au self parce que mon pere est au boulot a midi alors il m'a inscrite au self mais par contre je prend pas le bus vu que j'habite a coté) je maperçut que javais laissé mon habit sur le banc, je retourne au gymnase et m'aperçoit que mon pull a disparu du banc , je cherchais pour finalement le trouver dans le plus haut arbre du lycée.
Je dus l'escalader sous les hurlements de rire de la bande fashion, les filles de la bande me prenait en photo avec leurs portables hyper branché.
Ils me suivirent a la sortie des cours et le mec au piercing de la bande fashion ricana:
- meme mon cleb voudrais pas de toi tellement t'est vilaine
Et toute la bande s'etrangla de rire.
Puis le mec au piercing vit son pere l'attendre et la fille au cheuveux blond bouclé tres maquillée et la fille rousse me dirent en rigolant moqueusement :
- a demain grosse vilaine dirent t'elles en riant d'un rire des plus moqueurs a demain les mecs et les meufs dirent t'elles en s'adressant au reste de la bande.
-a demain dirent toute la bande a l'unisson a demain grosse mocheté firent t'ils en me regardant un ricanement des plus moqueurs sortirent de leurs bouches maquillée de rouge a lèvre pour les filles et piercée pour certains garçons.
et toute la bande s'en allerent
Et les voyant s'eloignés , je me dit " ouf enfin tranquille" quand je vis deux ados de mon age un peu plus grand que moi devant le lycée, le premier été brun et le second blond avec des meches brunes ils avait l'air menaçant, été vetus de manteaux en cuir et fumé des cigarettes, je ne les avais jamais vu a l'ecole!
Ils me virent et me suivirent jusque dans une rue abandonnée ou je suis obligée de passée pour rentré chez moi, je m'arretais et me retournais pour voir ce qu'ils me voulait et le brun me dit d'un ton menaçant en sortant un couteau de son manteau en cuir:
- donne nous tout ton fric pétasse
- ou on te creve fit l'autre en sortant un autre couteau de sa poche en cuir
Des racketteurs! il manquait plus que sa !
Tetanisée de peur, je regardais les poches de mon jean j'avais pas d'argent, je regardais dans les poches en kangourou de mon pull a capuche que javais remis car il avait commencait a faire froid.
Pas d'argent non plus!
- jai rien leur dis je d'un ton qui suait la peur
La lueur de leurs couteaux me fesait froid dans le dos
- alors on va te crevée dirent t'ils en meme temps en se jetant sur moi , leurs couteaux a la mains.
Reussisant a leur echapper , je courut comme une folle mais je les avais a mes trousses.
Je me dirigeai vers un petit chemin de terre qui sortait un peu de la ville et je me dirigeai vers la foret ou il conduisait car ayant visité toute la ville et ses environs samedi dernier je la connaissais maintenant par coeur!
Je me cachée derriere un grand arbre pas loin du chemin, essouflée et transpirante.
J'entendis les deux racketteurs arrivait par le chemin mais ils resterent la, leurs couteaux dans leurs mains et le blond aux meches brunes dit d'un ton menaçant:
- ou te cache tu petite petasse?
- allez montre toi il est amusant ton petit jeu mais on s'en lasse vite
Terrorisée, je sortie discretement de ma cachette, et m'elanca vers la foret.
Mais par inadvertance il fallut que je marcha sur un tas de gravier etendu en tas le long du chemin , ce qui fit enormement de bruit et attira les racketteurs vers moi qui arriverent en courant et me virent.
Le brun ordonna:
- attrapons la et quand on l'aura on la crévera
Je me remit a courir comme une dératée et, arrivée a la clairiere , je montais dans un arbre et je vis avec etonnement une sorte de longue lumiere bleue traversée la clairiere en rond et tourner autour de l'arbre sur lequel je me suis réfugiée et apres sa comme par magie le bruit des pas des racketteurs qui me cherchait et leurs voix s'eteignirent comme une radio.